Certains élèves de 4e et de 3e inscrits au parcours du spectateurs sont allés voir Samedi 24 Mars le spectacle contemporain "Au bois" de Claudine Galea au théâtre National. Ils ont rencontré par la suite, l'équipe artistique au collège le Mardi 27 Mars. Jade et Marco rendent compte de leur expérience de spectateur dans leur compte rendu. "
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Jade | Marco | Maël |
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Dans le cadre du parcours avenir et du PEAC, les élèves volontaires du collège ont rencontré en février dernier, Luc Priori, médiateur culture du Théâtre National de Strasbourg, pour découvrir les métiers de la culture et du spectacle vivant. Dans la continuité, ces mêmes élèves ont répondu à l'invitation de Luc Priori et se sont rendus mercredi 14 mars 2018, au Théâtre National de Strasbourg.
Compte-rendu par Gaëtan BAUR 4e6 :
La Visite du Théâtre National de Strasbourg dans le cadre du Parcours Avenir et du PEAC Mercredi 14 Mars 2018.
Le théâtre :
A sa création allemande, dans la Neustadt, c'était un palais de justice. En face, il y avait le palais de l'empereur. Il s'est ensuite transformé en auditorium qui s'est fait bombarder par les anglais en 1944. A sa reconstruction, c'est devenu un théâtre.
La salle Bernard-Marie Koltès est une salle à l'italienne avec plusieurs balcons qui contiennent plus de 600 places.
La salle Hubert Gignoux contient 200 places. C'est une salle de plein pied avec des pendrillons (rideaux) qui cachent des loges.
Le TNS reçoit 9 millions d'euros par an de l’État qui vient des impôts. Les places coûtent de 6 à 28 euros, en moyenne 13 euros. Sans l'aide de l’État, on paierait 80 à 100 euros pour une seule places. Le cadre de scène, inventé par les anglais, sépare le public et la scène. La cage de scène, sous la scène, est haute de 4 mètres. Elle permet aux comédiens d'apparaître et de disparaître selon la pièce jouée. La régie, pour le son et la lumière, est située derrière le public.
A la fin du spectacle, on met une servante : une bougie ou une lampe au cas où il y aurait une fuite de gaz.
Les superstitions :
On ne dit pas « bonne chance » à un comédien car cela porte malheur, on dit « M... » A l'époque, les gens se déplaçaient grâce aux chevaux, on disait donc bonne « m... » pour dire « espérons qu'il y ait du crottin» ce qui signifie « espérons qu'il ait du monde ».
Il ne faut jamais dire le mot « corde » dans un théâtre car ça porte malheur. Cette superstition vient des marins qui, quand ils ne naviguaient pas, faisaient du théâtre. Ainsi toutes les superstitions de l'univers marin se retrouvent chez les comédiens.
Il ne fallait pas porter de vert, car la couleur ne tenait pas sur les vêtements, il fallait mettre de l'arsenic, et quand le comédien transpirait, l'arsenic libérait son poison, et ensuite il était malade.
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Le 22 janvier les groupes des 4e et 3e de Latin sont allés visiter le musée Unterlinden de Colmar. Voici le récit et les photos de Pauline et Benjamin...
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Pauline | Benjamin | Yaëlle |
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Les classes de 3ème se sont rendues ce mardi 23 janvier à l'espace Athic d'Obernai pour voir une pièce de théâtre : une réécriture du célèbre mythe d'Antigone, revisité par la « Cie Quai n°7 ».
Si cette envie de porter Antigone sur scène suivait Juliette Steiner depuis plusieurs années, c'est finalement en mettant plus en lumière le personnage d'Ismène (qu'elle incarne d'ailleurs dans la pièce) que l'adaptation s'est faite. On peut penser à la tragédie antique de Sophocle ou à la réécriture plus contemporaine d’Anouilh au 20ème siècle, mais c'est en fait les œuvres d'Henry Bauchau, et de Yannis Ritseau qui ont servi de base à l'écriture collective de la pièce.
Un temps d'échange entre l'équipe artistique et les jeunes spectateurs a eu lieu à l'issu de la pièce, pendant lequel les élèves ont pu interroger les comédiennes et l'équipe sur leurs rôles, la scénographie, les décors...
Pour plus d'informations et renseignements: http://www.espace-athic.com/billetterie/spectacles/antigone-ismene/
Mathilde Gigliotta, Service civique
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Vendredi 12 janvier, les élèves de 5è1 se sont rendus à l’atelier de l’artiste Daniel Depoutot qui se trouve au port du Rhin, à Strasbourg.
Ils ont pu découvrir ses nombreuses et étonnantes sculptures qui sont des assemblages d’objets de récupération et de fer. Ils ont été stupéfaits de constater qu’elles pouvaient s’animer et produire des sons tonitruants.
L’artiste a volontiers répondu à leurs questions et s’est amusé à faire le spectacle au milieu de ses automates.
Il exposera au LAC (Lieu d’Art et de Culture) du collège de Geispolsheim durant le mois de février. Un rendez-vous à ne pas manquer !
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Jeudi 9 novembre 2017, tous les élèves de 5è sont allés au cinéma d'Erstein pour assister à la projection du film "Auf Augenhöhe" à l'affiche du 13è Festival AUGENBLICK (cinéma en langue allemande). Le film a reçu un très bon accueil. Voici un florilège de critiques rédigées par les élèves de 5è1.
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Mardi 13 juin, les élèves du dispositif ULIS se sont rendus chez leurs correspondants du collège « Les 7 Arpents » à Souffelweyersheim.
Durant la matinée ils ont pu découvrir les différents lieux du collège « les 7 Arpents », puis présenter le projet sur lequel ils ont travaillé : un exposé sur le Pérou. Après ce premier temps, les élèves de Souffleweyersheim ont présenté leur projet bande dessinée. La matinée fut clôturée par un beau temps d’échanges et de jeux.
Après un pique-nique sur l’herbe, les correspondants ont emmené les élèves de Geispolsheim découvrir la ville et différents lieux tels que l’écluse et la mairie. La journée fut très enrichissante pour tous.
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Plus d'informations : C'est quoi l'ULIS ?
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